Dans le but d’apprendre aux
enfants à utiliser les outils numériques, de nombreux thèmes ont été abordés :
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Quels
repères pour développer une nouvelle pédagogie ?
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Dans
quelle mesure est-il nécessaire d'apprivoiser les écrans ?
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Les
pratiques numériques inventent-elles de nouveaux modes d'écriture ?
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La
culture numérique nous conduit-elle vers un nouvel humanisme?
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Quelle
place pour l'Homme derrière les écrans ?
Éric Sinniger, Vice-président
de l’Apel 62 et membre de la commission solidarité informatique auprès de l’Apel
académique, a assisté à la convention et a participé à l’atelier ‘Tablettes’
présenté par l’école pilote du département le Collège/Lycée La Malassise de Longuenesse :
« Plusieurs faits ont
retenu mon attention, tout d’abord sur le point pédagogique : l’élève
s’enregistre et fait sa propre démonstration. L’enseignant remarque aussitôt le
moment, la phase où l’élève fait l’erreur et peut donc précisément ré-intervenir
sur le cours. »
« Aussi, l’élève
s’enregistre et fait son autocritique, ce n’est plus le professeur ou d’autres
élèves qui ‘jugent’ ».
« Ensuite, sur le point
sécurité : la tablette étant dédiée à l’enseignement, le professeur à la
main sur ce qui est téléchargeable vers la tablette ou issu de la tablette
(image de l’élève). Et puis, il existe des coques solides qui évitent la casse - La
Malassise n’a eu que 5 casses sur 350 tablettes en 3 ans ! ».
« Et enfin, en tant que
membre Apel, l’utilisation de la tablette solutionne plusieurs points
récurrents abordés par les parents d’élèves lors des réunions : le poids des
cartables (les livres sont numérisés et restent à la maison) et l’utilisation
du casier partagé un jour sur deux par chacun des élèves à cause des sacs trop
gros ».
« Franchement, les
avantages sont indéniables. Il faut néanmoins une équipe enseignante prêtent à
faire le pas et solutionner l’épineux problème du coût de la tablette. Mais là aussi
des solutions existent : une location avec option d’achat, répartie sur
plusieurs années au sein de l’établissement reviendrai à une dizaine d’euros
par mois. »
« C’est maintenant aux équipes
Apel, aux enseignants, aux membres OGEC et au chef d’établissement d’y
réfléchir et de se lancer ! ».
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